lundi 16 mai 2011

Destination Tokyo

Nous étant enregistrés la veille, nous avons pu nous permettre de partir un peu plus tard, ce qui, il faut le dire, est fort confortable. Plus de stress d'être placés n'importe où, n'importe comment. Debouts à 7h, nous nous sommes préparés à notre aise. Nous avions une grosse heure avant que Didier, le papa d'Odile, passe nous prendre pour nous déposer à l'aéroport. Un départ cool donc.

Je dois remarquer que je ne suis plus l'homme hyper tendu et stressé la veille et le jour du départ, angoissé par mille et une peurs irraisonnées. N'ai-je rien oublié ? Mes papiers ? Un objet "vital" ? Ne serons-nous pas en retard ? Et si ... une vraie psychose dont je me suis apparemment débarrassé. Est-ce l'âge ? L'expérience ? La sagesse (sic) ? Qu'importe, le résultat est fort agréable. Et ce n'est pas le seul bénéfice. Je n'emporte plus 3 fois trop. 11kg de bagages pour un mois, une belle performance. Voyager léger, ce n'est pas un mal non plus.




Revenons à notre départ. Une fois arrivés à l'aéroport, après avoir fait emballer nos sacs à dos sous film plastique, afin d'éviter tant que faire se peut une mésaventure à nos sacs pour cause d'une sangle aventureuse ou toute autre raison, avoir enregistré un total de 37,5kg de bagages en soute y compris la valise de cadeaux, nous nous sommes offert un petit-déjeuner au Starbuck. Deux muffins et un grande latte chacun, il y a pas à redire, on est fan.




Ensuite, nous avons entamé la séquence classique douane-sécurité-marche-attente-embarquement. A noter une petite attente de même pas 30 min. Un départ cool comme je vous le disais.

Nous voilà donc partis pour Tokyo avec SwissAir. Le voyage comporte une correspondance à Zurich, et nous avons moins d'une heure avant le départ du second vol. Rien à redire, nous étions avant l'heure prévue à Zurich. Le temps de faire une emplette, de nous diriger vers notre porte d'embarquement, de prendre une navette et de repasser la sécurité, nous avons embarqué à 12h50.




Et c'est parti pour presque 12h de vol. On espère que nos places seront pas trop exigües, les autres voyageurs calmes, la nourriture bonne, ... et bien nous n'avons pas eu à nous plaindre, d'autant que l'avion n'était pas plein. Enfin, les longs vols ne sont pas spécialement le meilleur moment ... celui-ci ne nous a pas paru particulièrement pénible. J'ai connu des vols 4 fois plus courts et pourtant de vrais calvaires.






12h plus tard, nous atterrissons à Tokyo. Ça y est. On y est ! Yata !


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